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Le voyage est un moment à part, subjectif, émotionnellement fort. Loin des habitudes, il force à s'adapter à la nouveauté, ce qui dérange, tout simplement l'inhabituel. Si je rechigne sur le moment, mes souvenirs n'en seront que meilleurs. C'est le paradoxe de bien des aventures.
Au même titre qu’Ella MAILLARD, chacun de nous va à la rencontre de ses propres oasis.
Voici les miens...
Vous n'en percevrez hélas pas les bruits ni les odeurs, ni tout ce que notre mémoire retient ou réinvente.
Une simple photographie doit vous convaincre de la force des paysages et de l'âme de leurs habitants.
C'est peu.
A notre imaginaire de compléter.
VOYAGEURS, petite histoire du nécessaire et du superflu, Marie SIMON, Ed. EPA, 2004
Pourquoi est-
Fait-
Un survol quasi ethnologique des petits besoins matériel de l'espèce humaine (riche) en voyage.
Marrant.
Plénitude de la marche (hauteurs de Aït Aïssa, ou Ali, Moyen Atlas marocain).
F90x + Nikkor 24/f.2,8. Kodak Tx 400 iso + filtre rouge B&W