Menu principal
Un arbre qui s'aveugle à force d'apparaître
et de se survoler dans le temps de patience
sans regards pour s'enfuir dans le décours des choses
où son coeur est déjà -
pris dans plus de sommeil qu'il n'en faut pour dormir...
René Nelli, extrait de La serp de folhum (Le serpent de feuilles)
dans "Obra poëtica occitana" (Institut d'études occitanes, 1981)
Mes grands-
Bienvenue sur ce sous-
Il y a tant de choses à écrire.
Plan du site